Pourrait-on dire que l’État pourrait protéger les consommateurs en réglementant les publicités ?

De nos jours, avec l’avancement technologique et les médias, on voit les publicités partout. Par conséquent, cela envahi la vie quotidienne des consommateurs puisque la plupart d’eux sont plus ou moins influencé par ces publicités. Donc, pourrait-on dire que l’État pourrait protéger les consommateurs en réglementant les publicités ? Pour répondre à cette question nous allons analyser des deux côtés possibles.

D’abord, le gouvernement joue un rôle très important pour contrôler les pubs clandestines (dans un film ou une émission) et les pubs mensongères (exagération des qualités du produit dont l’information et fausse). Deuxièmement, le neuromarketing qui cible « des territoires sensibles » des gens, a ses effets néfastes sur leurs comportements. De plus, beaucoup de ces publicités promeuvent des valeurs dangereuses comme sexisme, violence et matérialisme chez les enfants et les ados. Cela peut être réglementé par l’État.

D’autre part, l’UFC considèrent l’autorisation de la présence d’une marque ou un produit dans un film ou une émission, moyennant rétribution. En plus, le BEUC autorisera trois coupures publicitaires dans un film, au lieu de deux actuellement. Ensuite, la réglementation de nouveaux services audiovisuels a été opposée par certains, de peur des répercussions économiques. Parlant du neuromarketing, cela peut, au contraire, avoir les effets positifs si les deux objectifs de respecter le cerveau des gens et de rendre le marketing plus efficace sont suivis.

Voyant les arguments au dessus, on constate que les élus européens ont des point de vus différents sur ce phénomène. Donc, maintenant c’est aux consommateurs de faire un choix entre devenir les « publiphobes » ou bien réfléchir avant d’acheter un produit.

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