Le français contemporain des cités a trouvé son existence vers la fin des Trente Glorieuses. La marginalisation des immigrés par les bourgeoises a donné naissance à l’expression d’une révolte et les pratiques langagières étaient donc, pour le monde ouvrier, un moyen d’être dominant au lieu d’être dominés. Alors, la fracture linguistique, c’est la fracture sociale.
Le verlan qui est l’envers du français, est le plus utilisé actuellement, parmi les jeunes. Cette langue est utilisée comme une arme contre ceux qui les ont faits face au sentiment d’exclusion. Comme on s’identifie à la langue qu’on parle, le refus de certaines personnes de parler la langue standard est un moyen de montrer leur propre identité. Donc, ils arrivent avec des moyens inventifs de parler pour que les autres ne comprennent pas ce qu’ils disent, ainsi ils se sentent plus fort que l’autre. Il y a très peu de mots argotiques qui trouvent une mention dans le dictionnaire. En plus, il y a des mots qu’on n’arrive pas à décrypter.
La France n’est pas le seul pays où la langue fragmente les gens en deux classes – les bourgeoises et les pauvres. Il y a d’autre pays comme les Etats-Unis et l’Inde où ce phénomène existe. Aux Etats-Unis aussi, une certaine section de la société ne parle que la langue argotique d’anglais. En Inde, à l’époque, la langue sanskrite a été enseignée seulement aux milieux riches, et d’autres langues comme le pali, aux classes moyennes. Même aujourd’hui, chaque état a sa propre langue et la plupart des personnes ne mélangent pas beaucoup avec ceux qui ne connaissent pas leur langue.
Selon moi, l’inégalité entre les deux milieux a mené à l’utilisation de la langue familière et il n’y a aucune solution pour résoudre ce problème.
Monday, August 31, 2009
Sunday, August 30, 2009
Pourrait-on empêcher la propagation de SIDA en mieux informant les jeunes ?
Le SIDA – syndrome immunodéficitaire acquis. Ce terme est suffisant d’évoquer la peur parmi tout le monde, car cela signifie la discrimination, l’isolement et finalement la mort. Le taux des personnes stigmatisées de SIDA augmente à cause de manque de l’information. Donc, le meilleur moyen d’avertissement serait d’éduquer les jeunes.
Les jeunes d’aujourd’hui veulent vivre leur vie indépendamment, ils sont tous prêts de prendre des risques. Même s’ils savent les conséquences de leurs actions, ils ne prennent pas des mesures préventives. Ils ne font pas les dépistages non plus. Ils sont tout simplement ignorants. L’utilisation des préservatifs n’est pas régulière parmi les adolescents et il y a une confusion entre la protection et la contraception. Donc, il est devenu très important de faire répandre l’information dans les milieux scolaires.
La lutte contre le SIDA devrait commencer au niveau des lycées, comme en France où avoir un distributeur de préservatifs est obligatoire. Des outils comme l’internet, la radio et la télévision s’informent bien. D’autres moyens étant, les pièces dans les rues, comme font quelques ONG, les films et maintenant il y a aussi des concerts où de grands vedettes de cinéma avertissent les jeunes.
Il faut qu’il ait plus d’ONG qui prendraient la responsabilité de faire appel aux jeunes d’être sensible vers les victimes de SIDA et aussi de se comporter dans une manière responsable avant des contactes sexuels. Le gouvernement peut aussi contribuer pour améliorer ce message, en rendant disponible les médicaments et les dépistages moins chers.
On dit << Mieux vaut prévenir que guérir>>. Le corps est la possession la plus précieuse, donc il faut bien réfléchir avant de faire une aventure sexuelle avec un étranger. Pour le plaisir de quelques instants, risquer la vie, c’est vraiment une affaire trop chère.
Les jeunes d’aujourd’hui veulent vivre leur vie indépendamment, ils sont tous prêts de prendre des risques. Même s’ils savent les conséquences de leurs actions, ils ne prennent pas des mesures préventives. Ils ne font pas les dépistages non plus. Ils sont tout simplement ignorants. L’utilisation des préservatifs n’est pas régulière parmi les adolescents et il y a une confusion entre la protection et la contraception. Donc, il est devenu très important de faire répandre l’information dans les milieux scolaires.
La lutte contre le SIDA devrait commencer au niveau des lycées, comme en France où avoir un distributeur de préservatifs est obligatoire. Des outils comme l’internet, la radio et la télévision s’informent bien. D’autres moyens étant, les pièces dans les rues, comme font quelques ONG, les films et maintenant il y a aussi des concerts où de grands vedettes de cinéma avertissent les jeunes.
Il faut qu’il ait plus d’ONG qui prendraient la responsabilité de faire appel aux jeunes d’être sensible vers les victimes de SIDA et aussi de se comporter dans une manière responsable avant des contactes sexuels. Le gouvernement peut aussi contribuer pour améliorer ce message, en rendant disponible les médicaments et les dépistages moins chers.
On dit << Mieux vaut prévenir que guérir>>. Le corps est la possession la plus précieuse, donc il faut bien réfléchir avant de faire une aventure sexuelle avec un étranger. Pour le plaisir de quelques instants, risquer la vie, c’est vraiment une affaire trop chère.
Wednesday, August 26, 2009
Internet peut-il tuer la presse?
Il y a quinze ans que l’internet est né mais dans l’univers numérique il y a eu plusieurs changements dans ces dernières trois années. L’internet a créé une augmentation de la concurrence parmi les différents moyens de transmission de l’actualité et au même temps la demande pour la presse écrite a diminué. Dans ce cas, la question que je me pose c’est, est-ce que l’internet va vraiment tuer la presse ?
L’infidélité des lecteurs a menacé l’expansion, la régularité et la prévisibilité de la presse écrite notamment quotidienne et nationale. Quand même, il a plusieurs lecteurs fidèles de la presse traditionnelle. Ils préfèrent lire le journal, tranquillement assis dans un fauteuil, au lieu de lire les actualités en ligne devant l’écran. Les journaux sont devenus une partie importante de la vie quotidienne des gens.
L’internet a créé une nouvelle vague du journalisme d’opinion au blog et ce phénomène tue la collecte d’information. Donc, les journaux parmi des autres modes de transmissions des informations, sont obligés de fermer leurs bureaux à l’étranger. Mais la situation dans les pays moins développés est complètement différente. Plusieurs régions n’ont pas l’accès à l’internet. La presse écrite est le seul moyen pour faire circuler les informations. Parlant financièrement, la presse écrite est plus rentable que l’internet.
Donc, selon moi, l’internet est très loin de tuer la presse. Quand même, pour affronter la concurrence, la presse doit faire plus de recherches des informations pour que plus d’internautes soient attirés. L’Etat peut aussi intervenir pour mieux régler l’information qui est diffusée dans la presse et sur l’internet.
L’infidélité des lecteurs a menacé l’expansion, la régularité et la prévisibilité de la presse écrite notamment quotidienne et nationale. Quand même, il a plusieurs lecteurs fidèles de la presse traditionnelle. Ils préfèrent lire le journal, tranquillement assis dans un fauteuil, au lieu de lire les actualités en ligne devant l’écran. Les journaux sont devenus une partie importante de la vie quotidienne des gens.
L’internet a créé une nouvelle vague du journalisme d’opinion au blog et ce phénomène tue la collecte d’information. Donc, les journaux parmi des autres modes de transmissions des informations, sont obligés de fermer leurs bureaux à l’étranger. Mais la situation dans les pays moins développés est complètement différente. Plusieurs régions n’ont pas l’accès à l’internet. La presse écrite est le seul moyen pour faire circuler les informations. Parlant financièrement, la presse écrite est plus rentable que l’internet.
Donc, selon moi, l’internet est très loin de tuer la presse. Quand même, pour affronter la concurrence, la presse doit faire plus de recherches des informations pour que plus d’internautes soient attirés. L’Etat peut aussi intervenir pour mieux régler l’information qui est diffusée dans la presse et sur l’internet.
Friday, August 21, 2009
Faites ma connaissance
Salut... Je m'appelle Dwiti Bosmaya. J'ai 26 ans. Actuellement, je suis étudiante du niveau C1 à l'Alliance Française de Bombay et j'enseigne le français dans une école aux étudiants de neuvième et de dixième. Donc, c'est l'apprentissage et l'enseignement au même temps. Mes intêrets sont écouter de la musique et lire. J'adore passer le temps avec mes amis et mes étudiants. Apprendre le français... c'est ma passion, et c'est mon rêve d'aller en France un jour!
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